C’est un acte de force et de courage.
Il semble ardu pour plusieurs d’entre nous de demander de l’aide. Nous le considerons comme etant dans le besoin ou faible , incapable de prendre soin de nous-memes, de notre vie ou de notre travail. Ca viole notre desir d’etre independant et capable parce que nous voulons apparaitre comme forts et vaillants dans n’importe quelle situation. Peut-etre que nous avons des gens qui comptent via nous pour etre le rocher dont ils dependent. Peut-etre qu’en demandant de le concours, nous serons percus comme faibles et exploites. Nous nous rencontrons comme une tour de pouvoir, mais trop souvent nous tremblons a l’interieur, terrifies de ne pas pouvoir le Realiser seuls, de laisser tomber ceux qui dependent de nous.
L’incapacite de demander de l’aide peut nous conduire au bord du debordement ainsi que l’epuisement total. Personne n’a une source inepuisable de resilience. Une falaise apparemment solide est en mesure de etre detruite lorsqu’une contrainte suffisante est appliquee, mais la contrainte n’a pas a etre soudaine et catastrophique. Cette falaise pourra etre detruite par le battement constant du vent au fil un moment ou par la lente erosion du sol qui Notre retient. Nous ne sommes pas multiples. Il existe des moments ou nous avons besoin de quelqu’un ou de quelque chose concernant nous aider a resister a Notre tempete et, des fois, nous offrir juste une epaule sur laquelle s’appuyer. Pourtant, nous ne demandons jamais – ou ne pouvons pas – reclamer de le concours si nous en avons besoin.
«D’apres votre que j’ai surpris, ce n’est pas tant claque de demander qui nous paralyse – c’est ce qui se cache en dessous: la peur de devenir vulnerable, la peur du rejet, la peur de paraitre au besoin ou faible. La peur d’etre percu comme 1 membre pesant en communaute au lieu de devenir un membre productif. Ca indique, fondamentalement, une separation les uns des autres. »- Amanda Palmer, L’Art de demander; ou comment j’ai appris a ne plus m’inquieter et a laisser les gens m’aider
Pourquoi est-il si difficile de demander de l’aide?
En fonction de Joan Rosenberg Ph.D., ecrivant dans Psychology Today :
«Nous sommes des etres intrinsequement sociaux. Pourtant, bon nombre de gens ayant grandi dans des cultures individualistes comme des Etats-Unis seront souvent eleves avec la conviction que compter i propos des autres et demander de l’aide est un fardeau pour les autres et vous fait paraitre emotionnellement faible.
Beaucoup d’entre nous ont ete eleves dans des foyers ou la lutte est reelle. Nous avons eu des parents immigrants qui sont arrives sans rien et ayant survecu en etant autonomes. L’image du heros hardscrabble qui se tient seul et vainc le pouvoir de la peine est pratiquement ancree au sein d’ notre ADN. Nous idolatrons le super-heros et honorons l’individu ordinaire qui fera preuve tout d’un courage extraordinaire.
Parfois, nous avons honte d’avoir besoin d’aide, surtout si les actions ont conduit a la situation dans laquelle nous nous trouvons. Cela se bien souvent lorsque nous avons besoin de la aide financiere, que nous avons une dependance qui a cree une pi?te, ou que nous avons conduit a des consequences graves ou desastreuses. Nous avons peur d’entendre ces declarations dechirantes: «Vous avez fera votre lit, maintenant couchez-vous dedans», «Je vous l’ai dit» et «Vous sert bien». Nous preferons tomber dans la defaite etouffes par la honte et la culpabilite que de nous exposer a la condamnation et au ridicule des autres.
Demander de l’assistance nous oblige a recadrer une facon de penser.
Tant que nous considerons la demande d’aide comme une faiblesse, nous prenons le chemin de l’echec. Evidemment, nous devrons peut-etre supporter d’etre frappes pendant un certain temps, mais nous finirons par nous effondrer du stress d’effectuer cavalier seul. J’ai falaise s’effondrera et la faiblesse meme que nous essayons si dur d’eviter nous s’ecroulera.
«Etre debrouillard… implique d’embrasser le caractere dependant de ce nature; vous devez se sentir vulnerable, courageux et suffisamment a l’aise en soi pour reconnaitre quand on a besoin d’aide », ecrit le Dr Rosenberg.
Demander de le concours, c’est abattre la facade de devenir fort et autonome et la remplacer par la force de devenir humain – jamais un super-heros, mais juste un etre humain ordinaire qui a atteint le bout de sa propre corde . C’est un acte de courage car i§a nous oblige a admettre que nous ne sommes pas aussi forts et individus que nous le souhaitons. Si la honte ou la culpabilite nous arrete, nous devons admettre a nous-memes et aux autres que nous avons contribue a notre situation. Il se peut que nous devions egalement prendre des mesures correctives ou reclamer le concours tout d’un professionnel Afin de eviter que la meme situation ne se reproduise a l’avenir.
Dire «j’ai besoin d’aide» est a la fois apaisant et liberateur.
Notre belle facon de demander de l’aide
Une fois que nous decidons de reclamer de l’aide, nous devons prendre des decisions. Nous voulons etre prets a exprimer des besoins de maniere claire et concise, non jamais en tant que mendiant desespere, mais en tant que personne qui reconnait volontiers qu’elle a besoin encore de ressources qu’elle n’en a.
Demander de l’assistance demontre aux autres que nous avons confiance et que nous comptons sur eux. Meme ceux qui sont incapables de dire oui pourront se sentir honores que vous les ayez contactes. Cela est en mesure de renforcer les relations, en particulier si nous rendons la pareille avec empressement si la chance se presente.
A qui demanderons-nous et pourquoi?
Nous voulons choisir sagement et soigneusement, en evitant ceux qui peuvent nous juger ou i?tre condescendants. La selection n’est pas forcement pertinent, surtout si c’est quelqu’un que nous connaissons. Cela pourra declencher le sentiment d’apparaitre faible, il est donc important de se concentrer dans une liste de personnes en qui nous avons confiance et qui nous accepteront comme nous sommes.
«Pour recevoir de l’assistance, vous devez faire confiance a l’autre personne et avoir confiance que vous etes digne d’aide (respect de soi). C’est peut-etre la partie la plus complexe, mais c’est absolument vital. – Tasha Rube, LMSW
